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Une cure de gelée royale peut être la bienvenue à un moment donné. Cependant, pour bénéficier des actions bénéfiques de ce produit provenant de la ruche, sa consommation doit se faire de manière responsable. À cet effet, ses contre-indications doivent être connues et évitées. Souhaitez-vous en savoir davantage ? Focus !

L’allergie au pollen, une contre-indication à la gelée royale

Les personnes dont l’organisme présente une certaine réactivité négative au pollen doivent s’abstenir de prendre la gelée royale. Les fleurs dérivées des marguerites et des pissenlits sont à titre illustratif des facteurs de risques.

Toutes personnes développant une quelconque intolérance à l’égard des substances issues des pollens de ces types de fleurs doivent s’interdire la prise de la gelée royale.

La gelée royale : un produit non recommandé pour les sujets souffrant de crises d’asthme

Les patients confrontés qui ont des crises d’asthme s’exposent aussi à des réactions négatives en cas de prise de la gelée royale. Celles-ci se manifestent par :

  • les éternuements
  • l’oppression de la cage thoracique
  • la bouffissure au visage (œdème)
  • la respiration aigre
  • les écoulements
  • ou encore l’hypotension.

Un asthmatique suivant un traitement à base de gelée royale peut montrer l’un ou l’autre de ces signaux. Dans ce cas, le produit doit être perçu comme une contre-indication et le traitement suspendu.

La gelée royale, une prohibition pour les porteurs de VIH

La néoptérine constitue l’élément déclencheur du mécanisme de défense cellulaire chez l’homme. C’est une ptéridine qui agit dans le radioguidage des cellules protectrices du système immunitaire.

Il est donc primordial qu’elle soit présente en quantité suffisante chez les personnes souffrantes du VIH. Une prise de gelée royale ne permet malheureusement pas à ces types de patients de recouvrer la dose normale de néoptérine nécessaire pour le fonctionnement de leur système immunitaire.

Elle contient en réalité qu’une infirme quantité de cette substance. Pour une bonne régulation du système de défense des malades du VIH, l’utilisation répétitive de la gelée royale comme médication est donc contre-indiquée.

L’intolérance au venin d’abeille, une inconvenance à la gelée royale

La gelée royale est un nectar qui provient de la ruche tout comme l’abeille. Cette cohabitation rend possible la présence de particules de venins d’abeilles dans la gelée royale. Pourtant, certaines personnes sont hostiles aux piqûres de cette bestiole.

Ces types d’individus en consommant la gelée royale peuvent manifester la même intolérance. Pour donc éviter toute forme d’effet secondaire nocif, les révulsifs aux venins d’abeilles doivent s’abstenir de tout produit dérivé de ruche.

Les cancers hormo-dépendants et la consommation de la gelée royale

Par sa réaction ostéogène-like, la gelée royale accroît la quantité de testostérone de l’organisme. En effet, cette substance renferme de la lipoprotéine. Celle-ci peut provoquer l’amplification du développement déjà désordonné des cancers de tumeur. Ceci n’est pas sans conséquence sur les organismes hormono-dépendants.

Ainsi, les personnes manifestant des cancers d’ovaires, d’utérus, de sein ou de prostate doivent s’abstenir de la prise de gelée royale. Elle peut toutefois être consommée après le traitement du cancer en raison de ses attributs énergisants.

Par ailleurs, la gelée royale est un stimulateur immunisant. Si sa consommation n’est pas recommandée en cas de cancer, elle peut bien être bénéfique pour empêcher l’évolution des tumeurs.

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